Livres alignés

 

Nos libraires ont méticuleusement choisi les perles littéraires du mois de septembre !

 

Plongez dans un océan de nouvelles aventures avec nos sélections, spécialement conçues pour éveiller votre curiosité et nourrir votre esprit. Que vous recherchiez l'évasion dans un roman captivant, l'inspiration à travers la poésie, ou la connaissance grâce à des essais pertinents, nos choix sauront vous transporter vers de nouveaux horizons littéraires. Ne tardez pas à venir découvrir ces trésors dans nos rayons, et laissez-vous emporter par la magie des mots qui n'attendent que vous.

 

Animal sauvage

Voici le 7e livre de Joël Dicker. Greg et Karine vivent dans une petite maison modeste au sein de la très chic ville de Cologny, à côté de Genève. Ils ont deux enfants et leur couple n'est pas au mieux de sa forme. Ils font la connaissance de leurs riches voisins, Arpad et Sophie, qui ont eux aussi deux enfants, mais s'entendent à merveille et vivent dans une magnifique maison d'architecte en verre. Greg est si fasciné par Sophie qu'il joue les voyeurs, notamment le matin en allant faire son jogging avec son chien. Greg, étant policier, profite de l’absence de ses voisins pour installer une caméra dans leur chambre. Un soir, il entend Arpad dire au téléphone à Fauve qu’ils s'apprêtent à cambrioler une bijouterie. Les personnages ont tous des secrets qui nous sont révélés peu à peu, notamment grâce aux multiples retours en arrière. Une fois qu'on est lancé dans ce roman, on ne peut plus s'arrêter.

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Ordures! : Journal d’un vidangeur

Simon Paré-Poupart est vidangeur depuis vingt ans et Ordures ! est son premier roman. Ce journal d’un vidangeur nous présente un monde dont nous ignorons l’existence et ses enjeux. En nous partageant sa passion pour son travail, l’auteur veut que nous cessions de croire que les ordures disparaissent par magie et nous emmène avec lui dans le quotidien des vidangeurs, qui travaillent beau temps, mauvais temps.

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Dans Amiante, Sébastien Dulude nous plonge dans l’été 1986 à Thetford Mines, une ville ouvrière emblématique de l'industrie de l'amiante. Le jeune Steve Dubois, 9 ans, passe ses journées en compagnie de son nouvel ami Charlélie, alias le petit Poulin. Ensemble, ils explorent les paysages lunaires des terrils et se construisent un refuge dans une cabane au milieu des pins. C’est dans cette amitié fusionnelle que Steve trouve un répit face à la tension familiale, marquée par un père distant et une mère dépressive. La légèreté des jeux d’enfants contraste avec l'ombre de la mine, omniprésente et menaçante, qui symbolise une menace silencieuse pour la communauté. Steve et Charlélie, insouciants des dangers qui les entourent, vivent leur enfance dans un univers à la fois enchanteur et oppressant.

Le roman, d'une écriture poétique et précise, explore la fragilité de la jeunesse et les blessures invisibles que le temps finit par dévoiler. Cinq ans après un évènement marquant, Steve revient sur ces lieux, cherchant à recoller les morceaux d'un paradis perdu, hanté par une tragédie qui a bouleversé sa vie.

Dulude réussit à capturer l'innocence d'une amitié enfantine tout en dépeignant une société ouvrière en déclin, rendant Amiante à la fois poignant et inoubliable.

 

Masque miroir

Alors qu’il se rend à une entrevue dans l’immeuble même où il avait planté le décor de son premier roman, Rémi Roche – qui entretient de troublantes similitudes avec un certain Jean-Simon DesRochers – aperçoit un autocollant sur lequel sont écrits les mots Look Around. Pourtant, la personne qui appose ces autocollants dans des lieux soigneusement choisis du Quartier latin, Anya Moreno, a disparu à tout jamais de sa vie en 1999. Dès lors, ce n’est pas seulement le passé, mais aussi la réalité présente qui s’affole. DesRochers imagine ici le face-à-face ultime entre un personnage et son auteur, là où se situe exactement la frontière entre le réel et la fiction… pour peu qu’il y en ait une.

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Renard qui adore l’automne

Alors qu’il se rend à une entrevue dans l’immeuble même où il avait planté le décor de son premier roman, Rémi Roche – qui entretient de troublantes similitudes avec un certain Jean-Simon DesRochers – aperçoit un autocollant sur lequel sont écrits les mots Look Around. Pourtant, la personne qui appose ces autocollants dans des lieux soigneusement choisis du Quartier latin, Anya Moreno, a disparu à tout jamais de sa vie en 1999. Dès lors, ce n’est pas seulement le passé, mais aussi la réalité présente qui s’affole. DesRochers imagine ici le face-à-face ultime entre un personnage et son auteur, là où se situe exactement la frontière entre le réel et la fiction… pour peu qu’il y en ait une.

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